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À propos

Depuis 1995, la librairie Lady Long Solo, au 38, rue Keller, dans le 11e arrondissement, défend l’édition indépendante.

Animée par des bénévoles, elle propose à de petit.e.s éditeur.rice.s, généralement mal diffusé.e.s, un espace où la totalité de leur catalogue est présenté.

Lady Long Solo c’est aussi un lieu de rencontres, d’initiatives et d’échanges où se croisent sans-papiers, Rroms, militant‧e‧s politiques et associatifs, féministes, écolos, indigné‧e‧s, militant‧e‧s de Droits humains pour la Birmanie, la Bosnie, le Rwanda et le Kivu et où se construisent projets et initiatives, de la revue La Nuit rwandaise au Quotidien des Sans-Papiers, de L’Agence d’information à État d’urgence ou Paris s’éveille en passant par Le Jouet enragé…

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Sauver la librairie Lady Long Solo (15/11/2013)

«Un repaire d’éditeurs engagés»

Depuis presque vingt ans, la librairie Lady Long Solo, au 38, rue Keller, dans le 11e arrondissement parisien, défend l’édition indépendante et est un « petit espace de liberté », entre Bastille et Voltaire, considéré par beaucoup comme « un endroit indispensable à Paris ».

Aujourd’hui, son existence est menacée.

Vous pouvez aider Lady Long Solo, en faisant un don, même minime. Vous êtes invité‧e‧s à relayer cet appel.

Lady Long Solo

Animée par des bénévoles, elle propose à des petits éditeurs, généralement mal diffusés, un espace où la totalité de leur catalogue est présenté.

La librairie propose ainsi depuis 1995 une sélection de revues et livres sur les sans-papiers, l’implication de l’état français dans le génocide des Tutsi du Rwanda – et plus largement, la Françafrique et les politiques néo-coloniales françaises – les politiques des drogues et la prohibition, la police et l’état policier, les luttes contre le racisme, le spécisme et la xénophobie, l’armée et le lobby nucléaire, sur les politiques alternatives, les luttes amérindiennes, Mai 68 et la Commune de Paris, …

Mais c’est aussi un lieu de rencontre, d’initiatives et d’échanges où se croisent sans-papiers, Rroms, militants politique et associatifs, écolos, indignés, militants de Droits de l’Homme pour la Birmanie, la Bosnie, le Rwanda et le Kivu (RDC), et où se construisent projets et initiatives, de la revue La Nuit rwandaise au Quotidien des Sans-Papiers, de L’Agence d’information à Paris s’éveille en passant par Le Jouet enragé, …

Mais la librairie Lady Long Solo a aujourd’hui besoin de la participation de toutes et de tous pour mettre la tête hors de l’eau, et pour que continue à exister ce petit espace de liberté entre Bastille et Voltaire.

Que chacun‧e fasse ce qu’il‧elle peut. Tout effort, même minime, sera plus que bienvenu.

Pour faire un don – même minime : https://www.leetchi.com/c/sauvez-lady-long-solo

 

Ils en parlent

Repaire d’éditeurs engagés, de subversifs patentés

(…) La « bouquinerie » est le repaire d’éditeurs engagés, de subversifs patentés. Du rouge et noir servis dans des casiers bleu ciel bien naïfs. Que des ouvrages ayant trait au politique, au sociologique, à l’historique, à la chose psychoculturelle, voire « psychotropique ». On distingue des titres entêtants des éditions du Lézard, parmi lesquels ces Très Riches Heures du cannabis, de Phix, qui a fait les bonnes feuilles de Lady Long Solo.

(…) On y croise des antiracistes, des objecteurs de croissance, des libertaires, des gens « en pétard », des inclassables qui se retrouvent en ceci : « Est-ce qu’on peut faire le parti de ceux qui ne sont pas sûrs d’avoir raison ? Ce serait le mien. » Les livres frondeurs démontent l’économie capitaliste, narrent la Commune de Paris, plaident la réforme des lois sur les drogues, jettent leur lumière sur la nuit rwandaise, avisent de la « lepénisation » des esprits… Stimulant.

— Pierre Pinelli
2 novembre 2013 – Télérama – Sortir n°3329

 

Sauvons Lady Long Solo

Encore une fois, une librairie est en danger de mort. Si rien n’est fait, ce sera une fermeture de plus dans ce triste et dramatique décompte.
De plus, il est important de se rappeler que Lady Long Solo, située rue Keller dans le 11e arrondissement de Paris, n’est pas une librairie comme les autres. On pourrait même dire qu’elle est unique en son genre. Elle est un endroit rare et précieux dans un monde qui considère la culture comme de la soupe à vendre au plus grand nombre.
Malgré son exiguïté, c’est un lieu exceptionnel situé au cœur de la capitale française, aussi bien pour les ouvrages proposés que par le côté chaleureux de l’accueil, sans parler de l’engagement militant et citoyen qui anime ceux qui s’en occupent.
C’est pourquoi il ne s’agit pas du sauvetage d’une simple librairie, mais d’un endroit indispensable à Paris, un lieu de culture et de débat où l’on peut dénicher toutes sortes d’ouvrages introuvables ailleurs.

Mobilisons-nous !
Car ainsi que de nombreuses autres librairies, elle est menacée à court terme si rien n’est fait pour la secourir avant qu’il ne soit trop tard, alors qu’il suffirait que chacun d’entre-nous donne un petit peu pour qu’elle puisse passer ce cap difficile, se redresser et rester fidèle à sa mission, celle qui fait d’une librairie un lieu de savoir et de connaissance afin d’informer les citoyens, proposant des lectures intelligentes qui n’ont rien à voir avec ces ouvrages jetables qui contribuent certainement à la mauvaise santé du commerce des livres…

Sauvons Lady Long Solo, avant qu’il ne soit trop tard, il suffit juste de donner un peu ou plus… Nous vous remercions d’avance.

— Alain Beaudelaire

 

Un lieu multiple de rencontres pour les libertés et contre les absurdités de ce monde

Cette petite librairie, qui existe depuis 1995, est aussi un lieu de rencontres, de multiples militants sans-papiers, d’écolos, des indignés, de militants de Droits de l’Homme pour la Bosnie, le Rwanda et le Kivu, de militants pour la Cannabis et d’artistes comme Arrabal (Dadas ..). En gros, un lieu multiple de rencontres pour les libertés et contre les absurdités de ce monde.

Elle a beaucoup participé à la lutte contre la LOPPSI2 et continue sans-cesse contre la xénophobie et les expulsions de Roms. Les livres qu’elle contient, outre ses éditions, sont celles d’éditeurs semblables, mis là par eux et en dépôt, qui sont le reflet de tout ce monde qui combat.

Elle est un endroit rare et précieux qui considère la culture comme n’étant pas de la soupe à vendre.

Le côté chaleureux de l’accueil, sans parler de l’engagement militant et citoyen qui anime ceux qui s’en occupent, se traduit par un dialogue auquel vous n’échappez que le temps de vos pérégrinations vers les étagères.

C’est pourquoi il ne s’agit pas du sauvetage d’une simple librairie, mais d’un endroit indispensable à Paris, un lieu de culture et de débat où l’on peut dénicher toutes sortes d’ouvrages introuvables ailleurs.

VERSEZ ce que vous pouvez POUR CETTE LIBRAIRIE, VENEZ-Y, ET FAITES SAVOIR.

— François

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